Les zones érogènes chez la femme
Un sujet pour lequel tout le monde oublie toujours une ou plusieurs zones. Après avoir lu cet article, amusez vous à poser la question à votre entourage “qui peut me citer les zones érogènes chez la femme”. Bien souvent, ce sont les zones secondaire qui sont oubliées.
Il s’agit tout simplement d’une zone du corps plus ou moins étendue, qui a tendance à très bien réagir aux stimulations (c’est-à-dire aux caresses, frolements, baisers et mordillages, etc) de manières à aboutir peu à peu à une grande excitation allant jusqu’à l’orgasme (mais là encore, faut-il être doués…;) ).
En partant du haut vers le bas, on a :
- les mains, plus précisemment les paumes de mains et chez certaines le bout de doigts ;
- les lobes d’oreilles ;
- les lèvres ;
- la partie interne des avant-bras (près de l’aisselle);
- le cou (principalement la nuque mais pas seulement) ;
- les seins (la totalité du sein ! S’acharner sur le téton n’aura peut être pas l’effet attendu…) ;
- le ventre et le bas ventre (mais attention des fois ça chatouille… et là garde aux coups de pieds et aux coups de poings incontrolés) ;
- le bas du dos et les fesses ;
- le clitoris ;
- les petites et grandes lèvres ;
- l’anus ;
- toute la zone de peau à proximité du vagin et de l’anus ;
- l’intérieur des cuisses ;
- derrière les genous ;
- les orteils et la plante des pieds (idem pour les chatouilles).
Parmi ces zones, on distingue des zones secondaires et des zones primaires. Les zones secondaires stimulées auront tendance à détendre et exciter en même temps, les zones primaires à augmenter cette excitation.
Bien évidemment, le mieux est de commencer par les secondaires !